Très cher conseil d’administration de frEsch,
Nous n’avions pas reçu de signe de vie de votre part depuis plusieurs jours et nuits. Nous voulons bien sûr vous donner le temps et l’espace nécessaires pour surmonter émotionnellement cette étape difficile.
Mais aujourd’hui, nous avons à nouveau reçu une lettre froide, sans cœur et machinale. Cela nous a profondément blessé-es. Il n’y avait même pas de signature personnelle. Nous avons donc si peu de valeur pour vous… Ne sommes-nous plus qu’un poids mort, un chiffon du passé que vous voulez jeter à la poubelle ? Méritons-nous d’être traité-es par vous comme des criminels (enfin pas comme de vrais criminels, ceux-là, vous les traitez très bien).
Ne vous arrive-t-il pas de songer à ce que nous aurions pu devenir, vous et nous ? Ne reste-il pas un peu de passion, qui brûlerait en vous secrètement? Nous avons pris notre courage à deux mains et nous vous avons composé cette chanson.
Peut-être que sous la couche de glace frEsche, se cachent encore un peu des sentiments que nous avons un jour partagé, peut-être voulez-vous nous rencontrer encore une fois en personne et simplement… parler ? Nous n’avons pas encore perdu tout espoir,
Écrivez-nous.
Dévasté-es par la situation,
Richtung22
Den neien Bréif vu frEsch
Wat bis elo geschitt ass
Eng Iwwersiicht iwwer d’Eskalatioun vun der toxescher Bezéiung vu Richtung22 an dem Escher Kulturverwaltungsverräin “frEsch”, un deren Spëtzt de Kulturschäffen an Steierhannerzéier Pim Knaff steet, ass hei ze fannen.