furiosa – la rage dans le ventre

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Pas de répit pour la révolte !

Nous avons tenus 22h sur la Place de la Résistance, 22h non-stop de radio où nous avons exprimé notre colère, nos inquiétudes, et nos espoirs pour le futur.

Ne nous arrêtons pas à un seul évènement. La résistance continue, et elle aura lieu à Esch.

Rejoignez-nous !


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Le jour J est arrivé : l’occupation de la Place de la Résistance, où j’ai été rejointe par Ka & Jo, ainsi que d’autres jeunes révoltés du pays. Pendant 22h, nous avons parlé en direct à la radio, approfondissant à chaque heure une de nos 22 questions fondamentales sur nos peurs, nos combats, et notre rage. À travers nous, Esch a poussé son grand coup de gueule. Ils n’auront plus d’autre choix que de nous écouter.


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Délogée.
Voilà la fin de mon dernier bastion : les archives sont dégagées pour compléter la rénovation du bâtiment du « Minett ».
Après 2 épisodes, et peu de vues, je crains que le message ne passe pas.
Où est la colère du peuple ? Où est la révolte ?
Pourquoi personne ne regarde ces vlogs?

Peut-être que les vidéos ne suffisent pas.
Il faut se lever de derrière son écran, et rejoindre les gens.

Brillplaz. Samedi 2 juillet.
Je compte sur vous.


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Esch est morte. A sa place, Esch City Plus s’impose par son béton, son verre, et sa « culture », accessible qu’à ceux qui ont le fric pour payer les loyers qui explosent. Qui est derrière tout ça ? Pour qui sont construits ces quartiers impayables ? Et que deviendrons-nous dans tous ces changements ? J’ai fait ce dont peu de journalistes dans ce pays sont encore capables – des recherches – et je vous les expose ici étape par étape. Découvrons la face cachée de ceux qui nous jettent dehors.
Barbara.


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Le journal « La lingua rossa della Minett » est mort. La tradition voudrait une minute de silence par respect, mais je vous propose 6min43 de colère et d’indignation. Car ce n’est pas seulement un journal, mais toute une région qui agonise sous les changements autour d’elle. Voici ma tentative de garder la tête claire, malgré le fait que j’aie PERDU MON TRAVAIL et que j’ai le droit d’être en colère !
Analysons ensemble la situation.
Barbara.